Skip to content Skip to footer

Comment créer un groupe d’entraînement marathon qui vous mènera au bout de vos 42 km ?

Perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium dolor emque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa.

Courir seul, ça va un temps. Mais pour tenir un marathon ? L’énergie d’un groupe change tout. Imagine une petite bande motivée, prête à se retrouver par tous les temps. Chacun pousse l’autre, comme un vent de dos invisible. Envie de créer ton groupe ? Viens, on en parle.

Pourquoi créer un groupe pour un marathon

L’entraînement d’un marathon, c’est long. Très long parfois. Il y a des matins où le lit te retient comme un aimant. Et là, recevoir un message du groupe : « On t’attend ! » Ça te fait lever sans réfléchir.

Un groupe, c’est :

  • plus de régularité dans la préparation

  • des encouragements les jours sans

  • des conseils et des partages d’expérience

  • une sécurité accrue pendant les sorties longues

Et puis, il y a cette joie simple : rire ensemble en courant. Une blague entre deux côtes ? Ça rend les kilomètres plus légers.

Définir l’objectif et le format du groupe

Avant d’envoyer des invitations à tout le monde, pose-toi une question : « On vise quoi ? » Finir le marathon ? Passer sous 4 h ? Faire un relais ?

Prends le temps d’en discuter avec les premiers motivés. Fixez une ligne commune. Sinon, c’est comme un bateau sans gouvernail : chacun partira dans son coin.

Et le format ?

  • durée de préparation : entre 12 et 16 semaines

  • taille : idéalement 5 à 12 personnes

  • rythme : trois à cinq séances par semaine

Pas besoin de viser l’armée mexicaine : un petit groupe soudé, c’est souvent plus efficace.

Recruter les participants et fixer les règles

Où trouver tes futurs partenaires ? Partout !

  • parmi tes amis ou collègues

  • via les réseaux sociaux

  • dans les clubs de running de ta ville

  • en postant un message sur Strava

Mais attention : recruter ne veut pas dire inviter n’importe qui. Il faut que les niveaux soient compatibles. Sinon, certains vont se sentir largués, d’autres freinés.

Fixez aussi quelques règles :

  • assiduité : chacun s’engage à venir régulièrement

  • respect : des horaires, des allures, des autres

  • sécurité : gilet réfléchissant la nuit, prudence aux carrefours

Un groupe qui tient, c’est un groupe avec un cadre clair.

Établir un plan d’entraînement collectif

Un marathon ne se prépare pas au hasard. L’idée ? Construire un plan simple, mais solide.

En général :

  • trois à cinq séances par semaine

  • une sortie longue le week‑end (indispensable)

  • des séances de qualité (fractionné, seuil, VMA)

  • des footings de récupération

Pour que tout le monde progresse, pense à créer deux sous‑groupes selon le niveau. Un peu comme dans un orchestre : chacun a son rythme, mais tout le monde joue ensemble.

Astuce : utilise un Google Sheet ou une appli type Strava pour que chacun note ses séances. Ça motive et ça permet d’ajuster.

Répartir les rôles dans le groupe

Un groupe sans organisation, c’est vite le bazar. Tu connais le proverbe : « Trop de cuisiniers brûlent la soupe ». Alors, répartis les rôles :

  • un capitaine : il motive et fait le lien entre tous

  • un responsable logistique : il choisit les lieux et les horaires

  • un coach : il adapte le plan si besoin

  • un responsable communication : il gère le groupe WhatsApp

Ça paraît formel, mais c’est juste du bon sens.

Trouver les lieux et gérer la logistique

Marre de toujours courir autour du même parc ? Varie les plaisirs !

  • la piste pour les fractionnés

  • la route pour les allures marathon

  • les chemins pour les sorties longues

Et pense à la sécurité :

  • parcours mesurés

  • points de ravitaillement sur les longues sorties

  • lampes frontales si vous courez le soir

Une bonne logistique, c’est moins de stress et plus de plaisir.

Éviter les blessures et intégrer la récupération

On l’oublie souvent, mais le repos fait partie de l’entraînement. Si tu enchaînes sans réfléchir, c’est la blessure assurée.

Alors :

  • échauffement et retour au calme à chaque séance

  • un peu de renforcement (PPG) deux fois par semaine

  • des étirements légers après les séances

  • une attention au sommeil et à l’alimentation

Dans le groupe, surveille les signaux : douleurs persistantes, fatigue intense. Mieux vaut lever le pied une semaine que rater la course.

Utiliser les bons outils pour rester connectés

Aujourd’hui, tout passe par le téléphone. Un groupe WhatsApp suffit souvent, mais tu peux aussi :

  • créer un Google Calendar partagé

  • utiliser Strava pour suivre les sorties

  • prévoir un drive pour stocker le plan d’entraînement

Le secret : la communication fluide. Un message rapide le matin : « On part à 9 h au parc ! » Et tout le monde sait.

Préparer le jour J ensemble

Le marathon, c’est la cerise sur le gâteau. Pour vivre ce moment à fond :

  • inscrivez‑vous en groupe (tarifs souvent réduits)

  • organisez le covoiturage ou le train

  • définissez un point de rendez‑vous avant le départ

  • prévoyez un coin pour se retrouver après l’arrivée

Si certains ont des objectifs différents, créez des binômes par allure. Courir à deux : ça rassure et ça tire vers le haut.

Garder la motivation intacte jusqu’au bout

La préparation d’un marathon peut sembler interminable. Alors, injecte un peu de fun :

  • lance des défis internes (celui qui poste le plus de sorties)

  • inscrivez‑vous à un 10 km ou un semi en cours de route

  • organisez des moments conviviaux hors course (brunch, ciné, resto)

Un groupe qui s’amuse, c’est un groupe qui reste motivé.

Zoom sur le mental : le secret invisible

On en parle moins, mais le mental est ton meilleur carburant. Dans le groupe, créez des petits rituels :

  • un cri de guerre avant la sortie

  • un mot‑clé positif qu’on se répète quand ça pique

  • un geste de célébration à l’arrivée

Ces détails tissent une véritable cohésion. Et le jour du marathon, tu sentiras ce lien comme une corde invisible qui te pousse à avancer.

Comment gérer les niveaux différents

Dans chaque groupe, il y a des fusées et des tortues. Et c’est ok. L’important : que tout le monde trouve sa place.

Astuce :

  • créez des groupes d’allure

  • partez ensemble puis scindez après l’échauffement

  • fixez des points de regroupement sur le parcours

Ce n’est pas une compétition interne. Le but, c’est d’arriver ensemble au départ… et chacun à son rythme à l’arrivée.

Petit bonus : les erreurs à éviter

Parce que oui, on en fait tous !

  • vouloir aller trop vite dès le début

  • négliger les sorties longues

  • changer de chaussures à 15 jours de la course

  • oublier de s’hydrater régulièrement

  • se comparer sans cesse aux autres

Si tu gardes ces pièges en tête, tu gagneras du temps et de l’énergie.

Inspiration : les clubs et groupes célèbres

En France, de nombreux clubs organisent des préparations collectives. Les Foulées de Vincennes à Paris, par exemple, réunissent des coureurs de tous niveaux pour le marathon de Paris. À Lyon, le Lyon Urban Trail Crew mise sur la convivialité et la découverte.

Ces groupes sont des mines d’idées. Ils montrent qu’on peut être sérieux… sans se prendre au sérieux.

Les petits plus qui font la différence

Pour donner une âme à ton groupe, ajoute :

  • un nom original

  • des t‑shirts ou brassards personnalisés

  • un carnet de bord collectif (photos, anecdotes, chrono)

C’est fou comme ces détails créent une identité. Et ça attire naturellement de nouveaux membres.

Sign Up to Our Newsletter

Be the first to know the latest updates

Whoops, you're not connected to Mailchimp. You need to enter a valid Mailchimp API key.